
Les femmes russes firent preuve d'un grand courage et d'une combativité exemplaire à Stalingrad. Elles étaient partout: tireuses d'élite, communications, radios, première ligne, D.C.A., aviation, hopitaux, ....L'excellence au combat!

 C'est ce que ne comprit pas Hitler, dans sa folie. Un peuple de slaves, race inférieure se dressait contre sa wehrmacht supposée invincible. Chaque maison fut défendue. Les combats furent acharnés pour permettre à l'armée rouge de constituer de l'autre coté de la Volga une immense force de plus d'un million d'hommes qui allaient encercler la VIeme armée fin novembre 1942. Mais la pire erreur d'Hitler fut d'avoir dressé toute la population contre lui. Staline n'était pas populaire, même dans sa propre ville. Le communiste était hait par bien des russes. Mais face aux hordes nazis, ce peuple se souleva dans une grande guerre patriotique, comme il se souleva jadis contre Napoléon. Et Staline eut l'habileté de laisser au clergé qu'il avait massacré jusque la, un peu de liberté pour insuffler la foi dans la victoire. Son plus grand mérite fut aussi de laisser ses généraux s'occuper de la conduite des opérations et ne pas faire comme le führer qui voulait se mêler de tout, sans en avoir les compétences.
C'est ce que ne comprit pas Hitler, dans sa folie. Un peuple de slaves, race inférieure se dressait contre sa wehrmacht supposée invincible. Chaque maison fut défendue. Les combats furent acharnés pour permettre à l'armée rouge de constituer de l'autre coté de la Volga une immense force de plus d'un million d'hommes qui allaient encercler la VIeme armée fin novembre 1942. Mais la pire erreur d'Hitler fut d'avoir dressé toute la population contre lui. Staline n'était pas populaire, même dans sa propre ville. Le communiste était hait par bien des russes. Mais face aux hordes nazis, ce peuple se souleva dans une grande guerre patriotique, comme il se souleva jadis contre Napoléon. Et Staline eut l'habileté de laisser au clergé qu'il avait massacré jusque la, un peu de liberté pour insuffler la foi dans la victoire. Son plus grand mérite fut aussi de laisser ses généraux s'occuper de la conduite des opérations et ne pas faire comme le führer qui voulait se mêler de tout, sans en avoir les compétences.Il est connu pour s'être souvent opposé à Hitler. Brillant stratège, il ne partageait pas bien des choix du Führer qui se révélèrent désastreux comme à Stalingrad ou Koursk. Il fut finalement mis sur la touche en 1944 mais il conserva l'estime de ses soldats.
Il est vraiment de ces maréchaux d'exception qui par leur sens des stratégies militaires peuvent faire pencher des batailles. C'est lui qui mit au point le plan d'invasion de la France en 1940, avec le résultat écrasant que l'on sait. Les forces était presque équivalentes et même supérieures du coté Anglo-Français. Mais en attirant le gros de cette armée en Blegique et en déclenchant une offensive massive dans les ardennes, il se retrouva derrière les alliés et les encercla presque complètement.
 Joukov a retenu la leçon de Borodino
Joukov a retenu la leçon de BorodinoLa bataille de Borodino fut un piège ou bien que les pertes fussent égales et où les russes évacuèrent le terrain, laissant croire aux français une victoire, le rapport de force s'inversa ce jour là.
Le Niémen était loin, les lignes de ravitaillement fort étirées et constamment attaquées par une résistance de plus en plus active.
L'Armée Russe allait se renforçant sans cesse dans un grand élan patriotique de mobilisation. Les français ne pouvaient escompter aucun renforts et c'est la raison pour laquelle Napoléon voulait tant protéger sa Garde.
Le plan pour contraindre Alaxendre Ier à la paix et à un retour dans le Blocus Continental contre les marchandises anglaises, ne pouvait qu'échouer. Le Tsar n'était pas dupe et avec Kutuzov, il avait parfaitement compris qu'il pouvait exterminer la Grande Armée.
Kutuzov est le grand vainqueur de l'année 1812. Comme le feront les russes avec Joukov face aux allemands, il utilisa cette tactique qui consistait en trois points:
 
 
 
