Les femmes russes firent preuve d'un grand courage et d'une combativité exemplaire à Stalingrad. Elles étaient partout: tireuses d'élite, communications, radios, première ligne, D.C.A., aviation, hopitaux, ....L'excellence au combat!
vendredi, octobre 20, 2006
Les femmes se battent à Stalingrad !
Les femmes russes firent preuve d'un grand courage et d'une combativité exemplaire à Stalingrad. Elles étaient partout: tireuses d'élite, communications, radios, première ligne, D.C.A., aviation, hopitaux, ....L'excellence au combat!
mercredi, octobre 18, 2006
Stalingrad une guerre patriotique aussi et avant tout.
Erich Von Manstein
Il est connu pour s'être souvent opposé à Hitler. Brillant stratège, il ne partageait pas bien des choix du Führer qui se révélèrent désastreux comme à Stalingrad ou Koursk. Il fut finalement mis sur la touche en 1944 mais il conserva l'estime de ses soldats.
Il est vraiment de ces maréchaux d'exception qui par leur sens des stratégies militaires peuvent faire pencher des batailles. C'est lui qui mit au point le plan d'invasion de la France en 1940, avec le résultat écrasant que l'on sait. Les forces était presque équivalentes et même supérieures du coté Anglo-Français. Mais en attirant le gros de cette armée en Blegique et en déclenchant une offensive massive dans les ardennes, il se retrouva derrière les alliés et les encercla presque complètement.
Il est dommage pour les nazis et fort heureux pour le monde libre qu'Hitler ne sut pas utiliser les talents de ce maréchal de génie. Il était contre l'opération citadelle à Koursk, contre les plans d'Hitler à Stalingrad et Léningrad et remporta bon nombre de grandes batailles lorsqu'il pouvait agir à sa façon, suivant ses plans.
Contre lui, Joukov aurait eu un véritable adversaire, mais avec Hitler, le caporal qui se prenait pour un général, il avait la partie facile. le Führer fut l'artisan principal de la défaite sur le front de l'est et c'est la une bonne leçon de l'histoire. Finalement la philosophie de Tolstoï n'est pas forcément juste. Oui , et Von Manstein le prouve, les chefs ont leur importance.
vendredi, octobre 13, 2006
De Borodino à Stalingrad, les mêmes tactiques.
La bataille de Borodino fut un piège ou bien que les pertes fussent égales et où les russes évacuèrent le terrain, laissant croire aux français une victoire, le rapport de force s'inversa ce jour là.
Le Niémen était loin, les lignes de ravitaillement fort étirées et constamment attaquées par une résistance de plus en plus active.
L'Armée Russe allait se renforçant sans cesse dans un grand élan patriotique de mobilisation. Les français ne pouvaient escompter aucun renforts et c'est la raison pour laquelle Napoléon voulait tant protéger sa Garde.
Le plan pour contraindre Alaxendre Ier à la paix et à un retour dans le Blocus Continental contre les marchandises anglaises, ne pouvait qu'échouer. Le Tsar n'était pas dupe et avec Kutuzov, il avait parfaitement compris qu'il pouvait exterminer la Grande Armée.
Kutuzov est le grand vainqueur de l'année 1812. Comme le feront les russes avec Joukov face aux allemands, il utilisa cette tactique qui consistait en trois points:
- Utiliser l'immense espace russe et amener l'ennemi à combattre le plus loin possible.
- Livre une bataille décisive pour briser les reins de l'armée adverse comme le furent de fait Borodino et Stalingrad.
- Exterminer les envahisseurs sur le chemin du retour par petites batailles successives sur les arrières gardes.
lundi, octobre 09, 2006
Chasse Russe
Panzers
Messerschmidt 110
dimanche, octobre 01, 2006
2 million de morts !
C'est le coût terrible de cette bataille qui marqua le début de la chute inéluctable du nazisme. Un combat terrible d'août 1942 à Février 1943. De grands généraux russes réussirent à berner Hitler et à l'aveugler. La prise de cette ville n'avait pas l'intérêt stratégique annoncé. Par contre la wehrmacht ne se releva pas sur le front de l'est de la perte de la VIe Armée, de ses hommes et de tout son matériel. Staline sortit en grand vainqueur de la bataille. Deux ans après, l'armée rouge attaquait Berlin.
samedi, septembre 30, 2006
Von Paulus, un piètre général.
Il perd du temps des le début de l'offensive de 1942.
Il manque la prise par surprise de Stalingrad.
Il est incapable de prévoir les plans russes.
Il refuse d'aller au devant de Von Manstein et laisse son armée mourir.
Enfin, il passe à l'ennemi après la bataille et appelle les allemands à chasser Hitler.
La question est donc: A-t'il trahit ?
Une effroyable défaite !
Hitler disait que jamais les soldats allemands ne se rendraient. La réalité fut autre. Des dizaines de généraux, des milliers et des milliers de soldats, contraint de se rendre, gelés affamés, malades, blessés.
Stalingrad ce n'est pas seulement un combat de snipers.
Le mot d'ordre de Staline: "Ne reculez plus !"
La stratégie d'Hitler : le pétrole du caucase.
Une prise presque totale de la ville pour rien.
Hitler se prend pour un général.
Hitler's Generals wanted to attack in the direction of Moscow again, in order take Russia's capital city, its heart and nerve center, and to crush most of Russia's remaining military forces while doing so, but Hitler now personally commanded the German army, and he listened to his Generals much less than before.
La ville aurait pu être prise dès fin Août 1942.
La Ville aurait pu être prise sans combats si Von Paulus n'avait pas trainé en route. C'est toute une armée soviétique qui était prise au piège et la VI armée trainait en route, très mal commandée.
On 12 September 1942 German troops were within four kilometres from the centre of Stalingrad - a big city, industrial centre and an important communication node on the Volga, in the place where the river changes its stream from south-west to south-east and down to the Caspian Sea.
Joukov s'inspire de Koutouzov!
La stratégie d'usure adoptée par l'armée rouge est dans le fond assez similaire à celle adoptée par Koutouzov contre Napoléon. Attirer l'ennemi le plus loin possible, puis lui briser les reins dans un combat décisif. Ensuite achever la horde des envahisseurs au fur et à meusure d'une retraite inévitable.
Une anecdote concernant Stalingrad. Le Général De Gaulle s'y rendit en 1944 suite à un voyage en Russie pour rencontrer Staline. Une fois dans la ville et devant l'amoncellement de ruines, il s'exclama " Quel peuple! " Ceux qui l'entouraient croyant qu'il parlait des Soviétiques, il leur dit "Mais non, je parle des Allemands. S'être rendu jusqu'ici !"